Véritable bras droit du médecin, l’infirmier(ère) prodigue des soins assurant le confort moral et la guérison du patient. Une profession à haute responsabilité où les relations humaines revêtent une importance capitale.

Distribution de médicaments, injections, pose de perfusions, pansements, mais aussi écoute et soutien moral : par ses multiples aspects, le métier d’infirmier(ère) est particulièrement exigeant. À l’hôpital, ce professionnel des soins joue souvent le rôle de pivot de l’équipe soignante. Son rôle consiste à prodiguer des soins curatifs ou palliatifs. Chargé(e) d'appliquer les prescriptions du médecin, l’infirmier(ère) engage sa responsabilité dans chacun de ses actes et chacune de ses décisions. Il (elle) aide aussi le patient à soulager sa souffrance, voire parfois à vivre ses derniers moments.

Un professionnalisme sans faille

Porté (e)  par la force de sa vocation, l’infirmier(ère) doit posséder la maturité nécessaire pour côtoyer la maladie et la souffrance au quotidien, tout en assurant le soutien psychologique des personnes soignées dans les moments difficiles. Un « métier-passion » basé sur le relationnel où la dimension humaine est donc essentielle. Le dialogue avec le malade et sa famille représente notamment une part fondamentale du travail. À noter que la profession offre une très grande variété de missions en fonction des services concernés. Les infirmiers(ères) peuvent ainsi exercer dans un hôpital, un centre médico-social, une association, un collège-lycée, une entreprise ou encore à leur compte.

Crédit photos : Laurent Folléa

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